Hunter Turner | Inkstaboy

Âge : Le petit 26 ans pointe le bout de son nez, alors que tu atteint cette âge, la tête libéré de tes soucis d'adolescent.Surnom(s) : S'il y a bien un regret que tu portes dans ta vie, c'est que tu n'as jamais eu réellement de surnom, étant enfant. Tes parents ne t'ont jamais donné de surnom, et tes amis non plus. Je sais, c'est horrible... Date et lieu de naissance : Tu es né un 12 Avril, à Édimbourg, dans ce petit quartier paisible que tes parents avaient choisit. Nationalité/Origines : Tu es écossais, sans aucun doute, mais tu as des origines du côté de ta mère française. Et c'était le drame à chaque réunion de famille, que ceux qui habitait en France se ramenait... Orientation sexuelle : Tu n'aimes pas un corps à proprement parlé, Hunter. Tu aimes l'énergie que dégage la personne, sa façon d'être, votre lien, ton attachement qui se créé avec cette personne. Tu aimes une personne pour ce qu'elle représente. Tu aimes, Hunter, et c'est tout. Statut civil : Pourquoi il faut toujours que les gens touchent cette corde sensible? Célibataire...  Type de logement : Appartement, parce que plus grand, ça te rendrait un peu anxieux. Trop d'espace vide, tu sais? Vit avec : Ton chien, un berger australien prénommé Toby, et ta petite chatte, prénommé Leatitia. Profession/Éudes : Tu es vétérinaire et tu es co-propriétaire d'un refuge animalier avec ton meilleur ami, Ailean. Tu mènes la belle vie, quoi ~  À Édimbourg depuis : Toujours. Quelques départs, par-ci, par-là, mais tout te ramène toujours chez toi. Signes particuliers : Par où commencer? Tes tatouages qui parcourent le haut comme le bas de ton corps, passant par ton torse, ta nuque, tes mains? Ou encore ces boucles d'oreilles? Ou ces cheveux, colorés brun et blond? Ou encore, tout simplement, ton style? Parce que tu en as, des signes particuliers, Hunter, et tu aimes ça. Petits secrets inavoués  : Tu en as, comme tout le monde, Hunter. Par exemple, cette fameuse soirée où tu as trop bu et où tu te rappel à peine ce qui s'est passé, mais que le peu dont tu te rappel te fait regretter cette soirée. Ou encore, le fait que tu as pris de la drogue. Cette même soirée où tu es arrivé chez toi, où tu as vu ton meilleur ami détruit, et où tu as frappé son ex petit-ami jusqu'à ce que Ailean doive t'arrêter. Ou encore, ton adolescence où tu étais ce garçon bagarreur et un peu violent. Ou tout simplement tes crises d'angoisses, la nuit.  Groupe : I don't care. Il y a de ça quelques années, tu aurais été paniqué à l'idée que quelqu'un découvre tes fautes, tes secrets, ta façon d'être. Désormais, tu vis avec. Tu vis avec tes démons, ton passé, ce que tu as fait. Et tu le vis de mieux en mieux. Car tu es toi, et ça, personne ne peut le changer. Et même, la radio te met un peu en colère. Parce que tu trouves déjà que la vie est remplit d'étape à passer, à traverser, pour que une radio s'y mêle, dévoilant les secrets de ceux qu'ils ne le veulent pas. Un ramassis d'idiotie, cette chose... Le monde se porterait mieux sans. Mais il y a des gens comme ça, qui aime blessé...

Enfance

T’étais un enfant difficile, Hunter. Tu n’as pas toujours eu la retenue que tu as, aujourd’hui. Tu es le troisième enfant d’une famille de cinq. Tu as deux frères ainés, une petite sœur, et un petit frère. Tu es le troisième. Ce qui fait que tu étais celui à recevoir les vieux vêtements de tes ainés, les vieux souliers, et les pantalons trop sales. Mais cela ne t’a jamais dérangé. Après tout, ce n’était que des habits. Tu es le troisième. Né d’un père écossais et d’une mère française (Ayant, depuis, la nationalité écossaise), tu sais que tes ainés ont appris le français. Pas toi. Oh, quelques mots, par-ci, par-là, mais pas assez pour dire que tu maitrises la langue. Ça ne t’intéresse pas vraiment. Tu avais bien mieux à faire. Par exemple, monter en haut du plus grand arbre dans le parc ou, encore, arrivé à attraper la pomme que ton petit frère souhaité tant avoir. T’as toujours été un peu dans ta tête, Hunter. Lunatique, tu ne parlais pas à beaucoup de monde quand tu étais enfant. Tu étais cet enfant qui adorait jouer avec un rien. Cet enfant qui, même s’il semblait coupé du monde, était le premier à accourir quand son petit frère ou sa petite sœur se blessait. Dans votre famille de sept, vous n’avez jamais manqué de rien. Oh, vous n’aviez pas des gros repas à chaque soir ni des habits achetés chaque année, mais tu étais bien, dans tes vieux vêtements. Tu étais bien.

Pourtant, une partie de toi voulait toujours plus. Plus pas en argent, mais en aventure. Alors tu sortais parfois de chez toi, sans prévenir personne, pour aller au parc, ou encore, pour découvrir les différences entre ta maison et la maison voisine. De plus en plus loin au fur que tu grandissais, tu découvrais le monde, dans tes vieilles baskets. Souvent, c’était la police qui devait te ramener chez toi, contacter par tes parents, inquiets. Chaque fois, ton père t’engueulait, essayant de te faire comprendre que cela ne se faisait pas. Toi, tu avais envie de repartir. Tu avais envie de fuir. De découvrir. Tes voisins te demandaient souvent si tu te sentais mal chez toi, si tu « fuguais ». Toi, tu secouais la tête en riant. Ton père essayait d’expliquer que cela faisait seulement partit de ton caractère. Toi, tu ne comprenais pas pourquoi tes parents étaient autant inquiets. À 9 ans, durant une de tes sorties, tu as rejoint ce quartier aux grandes maisons de quatre étages. Tu étais intrigué par la grandeur des maisons, par leur beauté aussi. Tu n’appris que plus tard que c’était un quartier de « riche ». Pour toi, ce quartier, c’était l’opposé du tien, et ça te rendait si curieux. C’est là que tu rencontras celui qui allait devenir ton meilleur ami, Ailean. Ce petit garçon qui jouait seul, dans son jardin. C’est naturellement que tu es allé le voir. C’est naturellement que tu lui as parlé, que tu as joué avec lui, que tu as ri. Jusqu’à ce que sa mère ne vous sépare. Jusqu’à ce qu’elle appelle la police, qui contacta ton père. Mais tu n’oublias jamais ce visage. Cette maison. Ailean.

En rentrant à la maison, tu te rappelles la claque que ton père te donna. Tu te rappelles avoir eu la joue rougie pendant plusieurs minutes. Tu te rappelles n’avoir pas pleuré. Tu te rappelles l’avoir regardé, en essayant de comprendre sa colère. Est-ce que quelque chose clochait chez toi? Est-ce que ça allait si mal que ça? Tu te rappelles que c’est là que ça a commencé. C’est là que tu as commencé à remarquer que tu étais différent. Différent de tes frères, différent de ta sœur. Que tu agissais différemment. Et à cette époque, tu compris que c’était mal. Pourtant, cela ne t’empêcha pas de continuer. Au contraire, tu recommençais, encore et encore. Tu voulais fuir. Tu voulais être différent. Tu voulais te démarquer des autres. Tu ne voulais plus être « le troisième ». Le troisième enfant, le troisième sur cinq, le troisième Turner. Tu voulais un nom. Tu voulais une identité. Tu voulais être reconnu.

Adolescence

« Arrête, Hunter! Arrête, lâche-le! » C’est des cris. Des appels de détresse même, que ta petite sœur te crie par la tête. Cela te prend quelques minutes à réaliser que c’est bel et bien ta sœur, qui crie. Que c’est elle, qui essaie de prendre ton bras pour le reculer du visage meurtri de ta victime. Victime. Non, ce n’était pas lui, la victime. C’était toi. C’était elle.  Ta sœur, elle te prend par le bras, elle essaie de te tirer, mais tu es plus fort qu’elle. Tu finis par te lever, ordonnant à ta sœur de te lâcher. Celle-ci obéit, le regard embrumé de larmes, alors qu’elle se recule lentement. Tu te redresses et tu fixes cet homme avec dédain. Homme. Garçon. Il a le même âge que toi. 15 ans, maximum. Tu sens tes poings se serrer lentement, les taches rouges présentent sur tes jointures. Tu l’as encore fait. Tu l’as encore fait… Tu regardes tes mains tremblantes, avant de fermer les yeux, prenant ton visage entre tes mains en soufflant. Ces crises de colère, elles deviennent de plus en plus fréquentes.

Tu ne t’es jamais très bien entendu avec ta famille. Oh, vous ne vous détestiez pas. La personne avec qui tu avais le plus de confrontation, ça a toujours été ton père. Il voulait ton bien, et toi, tu t’enfonçais. Avec tes frères et ta sœur, c’était compliqué. Vous vous aimiez, vous vous protégiez, mais vous vous ignoriez aussi. C’était… difficile. Il faut dire, pour la majorité, vous étiez tous des adolescents très différents. Adolescents, ça amène son lot de complication. Tu t’es toujours bien entendu avec ta mère. Sans doute parce qu’elle n’essayait pas de te comprendre, mais seulement de t’aider. Car tu ne te comprenais pas non plus, à cette époque. Tu te cherchais beaucoup, adolescent. Puis, il y avait tous ces repas de famille, où tu ne te sentais bien nulle part. Ni chez toi ni dehors. Ces repas de famille, où tes tantes, oncles, cousins et cousines français te dévisageaient. Toi, et ton style particulier. Toi, et tes mains brisées par les bagarres. Toi, et tes boucles d’oreilles. Toi, et ta façon d’être. Nulle part, c’est ainsi que tu te sentais adolescent. Tes crises de colère étaient désormais fréquentes, et la police n’était pas à son premier cas, avec toi. Ton père était de plus en plus furieux. Ta mère, c’était un ange. Mais toi, tu ne le sentais pas. Tu ne comprenais pas pourquoi tu te sentais aussi mal.

T’avais simplement essayé de protéger ta sœur, cette fois-là. Ce garçon. Il l’avait mal regardé. Mal parlé. Tu l’avais défendu. Tu l’avais frappé. Pourquoi tout se ramener toujours au point avec toi? Il faut dire, l’alcool n’aidait aucunement tes crises. Fuir, ça n’aidait pas, Hunter. Mais tu ne savais que faire ça. Tu te sentais mis à part de ta famille, trop différent pour être accepté. Tu n’avais pas beaucoup d’amis, à l’école. Tu te tenais avec ce petit groupe, qui fumait et prenait de l’alcool, comme toi. Tu étais en conflit avec ton père et avec l’autorité. Tu te cherchais une identité propre. Et comme tout adolescent, tu imaginais le monde pire qu’il l’était. Et ta façon de t’en sortir, c’était de te bagarrer. De partir de chez toi pendant toute une soirée. De fuir les repas de famille. De te renfermer.

Ton corps commence aussi lentement à se couvrir de tatouage. C’est ta façon à toi de t’exprimer, de parler, de crier tes mots. Tu as toujours été très imaginatif et créatif, Hunter, et cette façon de couvrir ton corps d’encre, c’est ta façon que tu as de montrer que tu es capable de t’exprimer. Tu as toujours eu plus de facilité à parler à travers ton corps, qu’avec les humains. C’est aussi à ce moment-là  que tu commences à te rapprocher des animaux. Tu soignes des petits oiseaux, tu recueilles des chats abandonnés et tu nourris des chiens dans la rue. C’est ta façon de contribuer à ce monde. Tu t’adoucis à leur présence. Ça te calme de prendre soin d’eux. D’être utile, pour une fois. Parce que les animaux, ils ne te jugent pas. Ils t’aiment, comme tu es.

C’est aussi à cette époque que tu te rapproches de ton meilleur ami, Ailean. Ce garçon qui vient te voir après chaque jour de classe, pour venir jouer au basket avec toi. Ce même garçon qui est prêt à sécher des cours, dans son école privée, pour venir te voir. Ce garçon, qui a toujours été là pour toi, dans tes hauts comme tes bas moment. Qui a toujours été là. Tu te rappel ces soirées à avoir jouer pendant des heures avec lui, ou encore, à avoir simplement discuter avec lui. Tu avais beaucoup d’affection pour lui, Hunter. Il était la seule personne, en dehors de ta mère, qui te comprenait, t’aidait, te soutenait. Tu l’aimais déjà tellement fort, et cet amour n’allait que grandir d’année en année. Il t’apportait le calme, que tu n’avais que trop peu souvent. Entre ton alcool et tes cigarettes, il était celui qui arrivé le mieux à te tempérer. Il a toujours eu ce talent là, avec toi. Tu lui dois beaucoup, tu sais…?



Tout plaquer. Tout. Pour partir vers l’étranger. C’est ce que tu as fait à tes 20 ans, Hunter. Tu as tout laissé là pour aller continuer tes études à l’étranger, avec Ailean. Libéré du poids de tes parents, libéré de leurs regards accusateurs chaque fois que tu prenais une bière, enfin loin de ta famille… Enfin loin de leurs obligations, de leur façon d’être, mais surtout, enfin tu découvrais le monde comme tu avais toujours souhaité. Vous êtes parti ensemble, et peu importe les rumeurs qui ont commencé à tourner autour de vous, vous ne vous en êtes jamais soucié. Vous êtes seulement parti. Là-bas, vous avez poursuivi vos études ensemble, prenant même un appartement ensemble durant les années où vous étiez là-bas. Vous avez tout connu, ensemble. Les hauts. Les bas. Les soirées trop arrosées. Vous avez vécu comme vous n’aviez jamais vécu avant. C’était les meilleures années de ta vie, Hunter. Mais c’était aussi les pires, dans un certain sens. Car c’est là où tu es tombé à ton plus bas… Mais comment dirait ta mère, tu es tombé, pour mieux te relever.

Tu t’es beaucoup découvert, durant ton séjour à l’étranger. Tu t’es découvert une passion encore plus énorme pour les animaux que ce que tu croyais. Tu as découvert que, même si tu essayais de plaire à tout le monde, tu ne pourrais jamais y réussir. Tu as appris à t’accepter comme tu étais, et surtout, à vivre comme tu le souhaitais. Sans toujours devoir écouter les conseils de ton père, ou devoir supporter les regards désapprobateurs de tes cousins et cousines. Aucune limite. Tu étais libre, avec Ailean. Tu vivais à fond. Durant cette période, ton meilleur ami est tombé amoureux d’un mec. Pas que ça te dérange vraiment, tu sais. Tu avais commencé depuis peu à t’intéresser à l’amour, et tu admirais les gens en couple. Les gens qui arrivaient à garder une relation stable. Du coup, voir Ailean heureux avec un mec, ça ne te posait pas vraiment de problème. Enfin… C’est ce que tu croyais. Mais il y avait quelque chose qui bloquait en toi. Sans le savoir à ce moment-là, tu étais jaloux. Jaloux de voir Ailean heureux avec quelqu’un d’autre que toi. Voir Ailean en couple avec quelqu’un d’autre que toi…

Tu as commencé à passer beaucoup de tes soirées dans un bar de la ville. Là-bas, tu rencontrais toujours les mêmes « amis ». Vous avez commencé à vous partager des trucs louches. Des trucs que tu n’aurais pas du toucher. Mais ça t’aidait à oublier. Alors tu faisais confiance à ce mec qui te les donnait, et tu les prenais. La drogue, elle coulait dans tes veines. Ça duré ainsi pendant quelque temps, que quelques soirs par mois, tu allais les rejoindre pour t’amuser. L’alcool, la cigarette, et désormais, la drogue… Rien pour calmer tes crises de colère. Rien pour t’aider à trouver une stabilité, malgré tout l’effort que Ailean faisait pour t’aider, malgré tes notes excellentes, malgré que tu adores ton voyage… Peut-être que ton père avait raison, finalement.  Tu n’allais pas bien. Quelque chose clochait chez toi…

Puis, ce fut la goute de trop. Alors que tu savais depuis quelque temps que ça allait moins bien entre Ailean et son ex, ce soir-là, tu étais à une fête. Tu dansais, tu embrassais des filles, tu faisais la fête. Ça allait bien. Jusqu’à prendre le sachet de trop. Jusqu’à sentir la chaleur brulée ta gorge. Jusqu’à ce que ce soit trop. Jusqu’à ce que ton « ami », cet homme qui te vendait sa marchandise, tu pousses un peu trop ce soir-là. Jusqu’à ce que la bagarre n’éclate, entre lui et toi. Jusqu’à ce que l’alcool et la drogue vous fassent disjoncter. Tu l’as frappé, frappé, et frappé. Tu te rappelles la douleur à tes jointures, alors que tu ne cessais de sentir sa peau contre la tienne. Tu n’arrêtais pas. Jusqu’à réaliser que tu l’avais peut-être tué, Hunter. Tu te souviens avoir reculé. Tu te souviens avoir regardé un homme, qui t’avait « rassuré » en disant toujours sentir son pouls. Tu te rappelles avoir appelé l’ambulance et être partie en courant. Tu te rappelles avoir vomi, avoir trébuché, avoir passé proche de te faire frapper par une voiture jusqu’à rentrer chez toi. L’homme ne porta jamais plainte sur toi, sans doute par peur que, dans le même coup, tu relèves tous les secrets que tu savais sur lui. Tu te rappelles avoir passé la nuit à vomir, à essayer de réaliser ce que tu avais fait.

Vous êtes parti peu de temps après cette soirée. Juste avant de prendre l’avion, vous êtes passés voir l’ex-petit ami d’Ailean, et tu lui as bien fait comprendre que plus jamais il n’oserait lever sa main sur Ailean. Vous êtes parti, retournant faire votre dernière année en Écosse. Chez vous.

Adulte

En revenant en Écosse, tu as commencé un séjour en désintox qui dura un an. Cela t’aida énormément à reprendre le contrôle de ta vie. Tu arrêtas suite à ça la drogue, tout comme l’alcool. Tu commenças à faire du sport : Course, musculation, vélo. Tu suivis aussi une thérapie qui t’aida beaucoup à te focaliser sur toi-même, sur ta vie, sur le présent. Tu repris un vrai contrôle sur ta vie. Tu repris contact avec ta mère et ton père, recommençant à leur parler, alors que tu t’installais dans un petit appartement avec l’aide de tes parents. Tu repris un refuge avec ton meilleur ami : Étant désormais tous deux diplômés en tant que vétérinaire, vous avez décidé de vous ouvrir votre propre refuge. Après ton séjour en désintox, ton père t’offrir, pour ta fête, ton berger australien, Toby. Peu de temps, tu adoptas aussi Leatitia, ta chatte tricolore. Enfin, après deux ans, tu peux désormais affirmer que ta vie a pris un tournant : Tu t’es bel et bien installé dans ton propre appartement, tu sens bien, et tu adores ton travail. Tu n’as pas retouché à l’alcool ni à la drogue, depuis. Sincèrement, tu ne t’es jamais senti aussi heureux que présentement. Comme quoi, oui, un jour, on apprend à s’aimer. Tu en es la preuve.